La médecine occidentale moderne, aujourd’hui conventionnelle, a atteint un haut de niveau de connaissance de l’organisme humain sur un modèle mécanique. Elle a développé, grâce à la technologie, une multitude de méthodes de diagnostic et de soins rigoureusement ciblés sur des indications définies selon ce modèle.
Elle repose sur des méthodes d’évaluation rigoureuses, mises en commun dans un esprit de partage du savoir.
Néanmoins son bilan est contrasté. D’un côté, elle a atteint une performance sans précédent dans le traitement des pathologies aiguës (maladies ou accident) et des cancers, dans la correction des handicaps et dans l’amélioration du confort de vie de certaines maladies chroniques. De l’autre, elle s‘est montrée une incapable de faire de la prévention, elle a échoué face à de nombreux inconforts et syndromes chroniques, et ses méthodes de soins agressives génèrent trop souvent des effets secondaires, parfois pires que la maladie, l’extrême tant les pathologies iatrogènes potentiellement mortelles.
L’accompagnement personnalisé des maladies chroniques est une priorité et doit passer par la restauration de l’énergie de la personne, le bilan et les corrections des déséquilibres alimentaires et des déficits nutritionnels, une évaluation du confort de vie avec la maladie , une « conscientisation » des pollutions environnementales, une meilleure capacité de gestion du stress.